Nos émotions influent sur la qualité des aliments, de la digestion et sur le message envoyé à notre organisme.
La relation à la nourriture commence au stade foetal. Nous sommes tous nourris par le cordon ombilical de notre mère et dès que nous sommes assez développés, nous pouvons différencier certains gouts. Arrive ensuite le sein ou le biberon, ce moment lové, en sécurité, puis les premiers plaisirs sucrés, les premiers gâteaux et autres “je te donnerai un bonbon”. Cette relation, propre à chacun, nous berce depuis notre enfance. Ce sont à ces moments que l’adulte se réfère quand il cherche une nourriture “doudou”, un réconfort… Et s’il existe cette nourriture émotionnelle que l’on connait bien, on sait maintenant également que l’état dans lequel on se trouve au moment d’un repas modifie complètement les nutriments dont l’organisme va bénéficier.
Manger du 100% bio complètement stressé serait-il aussi néfaste que des pesticides ?
Éléments de réponse.
La malbouffe a une incidence sur notre état d’humeur et sur notre façon même d’envisager la vie…
∴ L’essentiel ∴
→ L’incidence est double : les émotions négatives donnent envie de “faux aliments”, généralement sucrés, mais elles empêchent également de bien digérer.
→ Règle nº1 : MÂCHER !
→ Le repas devrait être un moment de partage et de calme, tant que possible, sans écran, assis et en conscience.
→ On est plus à l’écoute de son organisme lorsque l’on ne fait rien d’autre pendant le repas, on mange donc moins.
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